August 15, 2012

Zèbre, Brassière, Nouvelle-Zélande et Jaspe

- MAYDAY, MAYDAY, MAYDAY, Auckland : ici Fairchild C-123 d’African air transport.

Zerbert Rayure, un zèbre pilote en fin de carrière fixait l’hautparleur. Seul un grinchement a peine audible lui répondit par-dessus le martèlement de la pluie sur le fuselage. Ses sabots étaient moites et crispés sur les commandes de l’avion. L’altimètre indiquait 21 000 pieds. Dehors les deux moteurs hurlaient leur désaccord. Une éclaire déchira le ciel sombre et éclaboussa le cockpit d’une lumière éblouissante. Le vieux pilote grogna alors que l’appareil fit une embardée. Zerbert aveuglé senti la perte d’altitude et tira de toutes ses forces pour ramener l’appareil.

-Par le grand zébré c’est quoi cette tempête à la con.

L’aviateur cligna a plusieurs reprise avant de recouvrir la vue

-J’aurais due rester dans la brousse. Au moins là-bas il ne pleuvait pas. En tous cas pas souvent.

Renfrogné, il Jeta un œil au tableau de bord. L’altimètre avait descendu sous les 15 000 pieds, c’était une sacré chute. Un autre cadran indicateur juste a coté attira son attention. La jauge à carburant pointait la moitié et poursuivait sa descente.

-Ah! Ce n’est pas vrai? Merde, merde et merde!

Décidément il devenait trop vieux pour ce genre de risque. Mais une mauvaise pension et l’amour de l’aviation avait eu raison de son jugement.

-Est-ce, est-ce que, est-ce que tout va-va-va bien capitaine.

Il se retourna surpris de trouver son client et passager, une souris scientifique, dans l’embrasure de la cabine. Il ne l’avait pas entendu entrer. Probablement à cause du tambourinement assourdissant.

-Retourner à votre siège M’sieur Moustein, j’ai la situation sous contrôle.

-Ah be-bien, si si vous le dîtes AaaiieEeK!

Une éclaire peignit à nouveau la cabine en blanc. L’avion valsa dans les éléments déchainé. Une déflagration se distingua du vacarme ambiant.

-Nous nous allons mou-mourir, nous allons mourir!

Le scientifique avait tout des petits jouet mécanique qui une fois remonter faisait du sur place en se frappa les mains.

-Hé ho!

L’intervention de Zerbert détourna l’attention de Mr Moustein

-huh!

-Vous voulez-vous rendre utile?

Le petit personnage, hocha la tête.

-Alors prenez la place de copilote et maintenez le cap, il faut que j’aie vérifié de quoi a l’arrière.

Zerbert vie la couleur quitté le visage de son passager. La nervosité le fit bégayer plus que d’ordinaire.

-Vou-vou-vou-vous êt- êt- êtes su-sur?

-Mais oui vous voyez ces deux cadrans.

-huh hum

-Il représente l’horizon et l’altimètre. Garder le premier droit et l’autre au dessus des 15 000 mètres, pour monter, tirer vers vous. C’est compris?

La souris semblait sur le point d’être malade.

-Ça ira vous verrai, j’ai connu bien pire.

Sans un autre mot il disparue dans la soute.

Inquiet, il écarta le rideau jaspe du hublot et vérifia le moteur gauche. A première vue tout allait bien. Satisfait il continua son inspection avec le moteur droit. Des flammes et une épaisse fumée s’en échappait.

-Eh merde de merde

-Ca-Capitaine Rayure

Zerbert retourna à la cabine et reprit les commandes. Tout en éteignant quelques interrupteur il demanda à son passager.

-Qu’est-ce qu’il y’a?

-Il, il, il y’a quel-quelqu’un qui a parler su-sur la radio.

Pour confirmer les dires de son client une voix grinchant sortie de l’hautparleur.

- Fairchild C-123…ici tour de contrôle aéroport d’Auckland, quel est votre situation.

-Auckland ici Fairchild C-123. J’ai due couper le moteur droit et j’ai subis une grande perte de carburant. J’estime avec mon chargement que je ne pourrai me rendre à destination.

-Fairchild C-123 larguer votre marchandise. Je vous dégage la piste #3. Si vous ne réussissez pas à vous rendre, dirigez-vous vers la baie. Je mets une équipe de sauvetage a votre disposition.

-5/5 Auckland.

Zerbert se tourna vers son client.

-Je suis désolé Mr. Moustein mais je dois me débarrasser de la cargaison.

-Vou-vous ne pou-pouvez pas jeter les caisses a la mer, Il, il s’agit de la nouvelle bra-brassière MagicBra. Il s’agit de pro-prototype ultra perfectionné.

-C’est a vous de voir Mr Moustein; votre vie ou des boites pleines de de brassières moi personnellement moi choix est fait, quel est le votre?

Zerbert lut dans les yeux de la souris le fil de sa pensé. Le choix fut pénible pour le scientifique mais la logique de l’équation était simple.

-Je v-vais le faire, di-dite moi ou je dois-dois appuyer.

Image trouver sur google. mots clés: fairchild c-123
évidement je ne possède pas les droit d'auteur et n'en retire rien :-)

July 11, 2012

Millionaire, Bateau, Thaïlande et Émeraude

9 septembre 2001

A l’attention de: Madame Brigitte Carlson, Directrice du développement durable, Division international.

Chère Madame Carlson, Je tenais à vous féliciter pour l’effort que vous avez déployée dans l’organisation de ma visite, ici, aux installations Thaïlandaise. L’implantation semble aller bon train et le personnel paraît efficace et compétent. J’ai effectué un très beau voyage. J’ai également pue profiter de votre petite attention. L’excursion en pirogue sur les eaux émeraude du littorale fut une belle expérience. J’ai grandement savouré ce moment de détente. Grace à vous je reviens reposé et d’attaque.

Au plaisir de se revoir.
Sincèrement vôtre Peter Scott PDG

P.s. Je serai a New York, mardi le 11 septembre, au « WTC ». Je souhaiterais vous invitez à dîner plus tard en soirée pour vous remercier. Cette réunion ne devrais pas me retarder outre mesure. Si vous acceptez, rejoignez-moi au Ritz, je vous y attendrai vers les 19h.

June 26, 2012

Pecheur, portefeuille, Italie et Blanc crystale

Bari, grand port de l’Adriatique, vivant au rythme incessant des ferries et du tourisme. Pour Alfonso, un homme vers la fin de la soixantaine encore fringuant et lucide, la ville était sa maison et la mer qui la bordait sa passion. Il y avait vécu depuis toujours et avait été sur un bateau dès qu’il fut en âge de marcher. Depuis sa retraite, il se contentait d’exécuter sporadiquement de petit transit avec la Grèce. Il offrait ses services et son bateau pour une somme modique pour arrondir ses fins de mois. Il affectionnait également se promener parmi les rues et ruelles pavé des vieux cartiers. A chaque jour qu’il n’était pas en mer, il se baladait et visitait ses lieux favoris tel la « Basilica San Nicola ». Il ne savait trop pourquoi mais il chérissait ce bâtiment austère. En tant que croyant, il récitait une prière à chaque passage. Mais ce qu’il adorait plus que tout, était de s’assoir à une table de son restaurant préféré : « l’Osteria delle travi » et discuter avec les clients, ses amis de longues dates et Angélica, la serveuse. Aujourd’hui comme de coutume, il passa la porte du restaurant et salua tous et chacun avant de s’installer a sa table. Alfonso regarda de droite à gauche puis ne trouvant pas la belle Cria : Angelica!

-Oui m’sieur Bennetti Répondit la jeune femme en se sortant la tête des cuisines.

-Ah! C’est la que tu te cachais. Est-ce que tu as le journal d’aujourd’hui? Questionna-t-il.

-Oui il y’en as une pile au bout du comptoir, vous voulez que je vous en apporte un?

-Tu serais un ange. Dit-il charmeur.

Habituer, elle lui rendit son sourire.

-Est-ce que vous allez prendre la même chose qu’a l’habitude?

-Seulement si c’est toi qui me le prépare et je vais prendre un petit rouge aujourd’hui.

-Ce s’ra prêt dans un instant dit-elle par-dessus son épaule avant de retourner aux cuisines.

Une fois sa commande passée, Alfonso se tourna sur son siège et bavarda avec son voisin de table. La conversation allait bon train lorsqu’Angélica déposa devant lui une assiette bombé de moule fumante et odorante.

-Tout ça ma l’air aussi délicieux qu’hier déclara M. Bennetti

-Évidement. Répliqua la serveuse. Voilà votre vin et le journal, Bonne appétit rajouta-elle puis reparti s’occuper des autres clients.

Il dévora le plat avec grand appétit comme a chaque fois qu’il revenait d’un voyage. L’air du large probablement.

Alors qu’il sirotait sa coupe, repu, il ouvrit le quotidien.

- Ça alors, je n’y crois pas. S’exclama-t-il

-Qu’y’a-t-il? Demanda Angélica qui débarrassait sa table

-L’homme sur la photo, je l’ai fait traverser il y’a pas 2 jours. Avoua-t-il

La jeune femme se pencha par-dessus l’épaule de son client et lue a voix haute : « …une statuette ornée d’un des plus gros diamants au monde surnommer le cristal blanc fut dérobée samedi dernier. Les autorités soupçonnent fortement le célèbre cambrioleur : Arsène Lapin. Les policiers qui mènent l’enquête requièrent l’aide de la population pour fournir toutes informations susceptibles d’aider à retrouver l’auteur du crime…

Interdit, Alfonso sortit de sa poche un carré de cuir lustré.

-Qu’est-ce que c’est? Demanda la serveuse.

-Son portefeuille, Il l’a oublié dans ma cabine. Dit-il.




p.s. les photos ont été prisent sur le web et la source m'est inconnues.
si vous en êtes l'auteur, s'il vous plaît m'en informer pour que je puisse prendre les actions nécessaires.


Nhim

June 4, 2012

Macho, sac de chanvre, librairie et multi couleur

ukka, un jeune finlandais, déambulait dans les rue de Manhattan, New York city. Il était aux États-Unis depuis deux jours pour une compétition sportive en musculation. Il fendait la foule sur le trottoir du haut de ses 6 pieds 11 pouces. Dépassant presque tout le monde d’une bonne tête, la foule lui donnait l’allure d’une allée gazonnée de blond, roux, brun et noir, parsemée de casquettes et de divers chapeaux. Ses bras énormes et ses mains larges dissuadaient quiconque de se moqué de son accent ou de son t-shirt moulant. Pour le reste de son physique il arborait tous les clichés du peuple nordique avec ses cheveux blond et son teint pale. Il marchait depuis une heure profitant de son temps libre avant la compétition pour s’immerger dans la culture américaine. Le son des criards et des moteurs de la marée des taxis jaune new yorkais était quelque chose auquel il ne s’habituerait jamais songea-t-il. Lui qui venait de la modeste ville de Kitee. Le gargouillis bruyant de son estomac lui indiqua que l’heure du repas approchait. Il emprunta la cinquième avenue et pris la direction du « Central Park ». Selon l’avis de son frère, l’on pouvait y trouver de succulent « Hot dog », un classique culinaire de la ville. Il se pencha pour refaire les boucles de ses lacets un peu après la 45ème rue. En se relevant il aperçu la plus magnifique des femmes. Une rousse qui sortait du restaurant “Morton’s the steakhouse”. Originale et intrigante, elle portait un chemisier blanc et une robe de gitane. Elle rangea quelque chose dans son sac de chanvre multi couleur avant de le remettre en bandoulière. D’un geste léger et gracieux, elle replaça une mèche rebelle de sa longue crinière. Leur regard se croisèrent un instant fugace. Le cœur de Jukka battit plus fort qu’en compétition. Curieux et sous le charme, il la suivit, jusqu’à la librairie non loin sous l’enseigne « Barnes & Nobles », bien décidé de faire sa connaissance.

Une fois à l’intérieur, il prit quelques secondes pour permettre ses yeux de s’accoutumer à la luminosité moins imposante de l’établissement. Ne la trouvant pas du regard, il se lança à la recherche de la belle.
-Mais ou est-elle. Se demanda-t-il. Après avoir longé les allés pendant plus de vingt minutes.
Il considérait abandonné sa quête lorsqu’il l’entrevit au travers des livres. Assise à même le sol, elle feuilletait un roman.
A cette instant les paroles de son frère lui revinrent en mémoire : « Les américaines aimes les hommes viriles et machos, ça les excites de se faire draguer par un vrai male. » lui avait-il dit avant son départ. Timide et ne sachant comment aborder les filles, il tenta la tactique de son frère.
Il s’approcha, feignant d’être à la recherche d’un quelconque livre. Faisant preuve de courage ou de stupidité, il se lança :
-Eh poupée dis moi ou tu mange pour être si belle et je t’y invite pour le diner. Lança-t-il d’un anglais cassé par son accent finnois.
-Je ne suis pas intéressée. Dit-elle, irritée, sans même lever les yeux de son livre.
« Jukka, une fois que tu as commencé ne lâche pas le morceau» lui avait conseillé son frère.
-Aller, te fais pas désirer, je sais que tu veux. Dit-il sur un ton qu’il espérait, charmeur, malgré le doute qui s’insinuait.
- Alors là, je n’y crois pas, après le matin de merde que j’ai passée, il faut que je me tape ça. Tu pense vraiment que je vais me pâmer devant des conneries pareilles. Commença-t-elle. Fermant son livre d’un claquement. La première, continua-t-elle, je l’ai laissé passée parce que tu ne semble pas venir d’ici. Poursuivit-elle Mais là je vais te mettre les pendules à l’heure. Je t’ai vue me suivre dans la rue jusqu’ici et ratisser les rangées. Tu crois qu’une fille comme moi, se laisserait draguer par un gros prétentieux illettré qui doit passer ses journées au gym et qui s’habille en t-shirt moulant à décolleter.
-Je, euh?! Bafouilla Jukka
-NON! l’interrompit-elle d’une main levée. Te donne pas la peine, je connais la sortie, merci. Dit-elle en maugréant.

Décidément, son frère avait tout faux constata Jukka. Un commis passé près de lui et remarqua le sac sur le sol.
-Ce sac est à vous monsieur? Demanda-t-il
-Euh non. Dit-il encore sous le choc.
-Bon, je vais le mettre aux objets perdus. Répondit le commis.
Il avisa qu’il s’agissait du sac multi couleur de la belle furie.
-Je me suis tromper c’est a moi. Dit-il en arrachant le sac des mains du commis.
-Si vous le dite. Répondit le commis, Peu désireux de contrarié l’imposant jeune homme.
Jukka dévala les marches. Plusieurs clients eurent la présence d’esprit de s’écarter. Quelques, dans leur bulles se firent bousculer mais s’abstenir de s’en offusquer en voyant la taille de Jukka.
Le trottoir étant encore plus achalandé qu’auparavant. Il n’arrivait à l’apercevoir. Devait-il prendre a gauche ou a droite?
-Réfléchi Jukka, Réfléchit. Se conditionna-t-il. Si elle est partie du morton’s pour venir par ici alors probablement que la librairie est sur son trajet. Donc je devrais aller dans le même sens. Résonna-t-il.
Il déambula ainsi la cinquième avenue Jusqu’au « Centrale Park ». Prenant une chance, il interpella un gardien de sécurité.
-Bonjour monsieur l’agent, auriez-vous vue passé une jeune femme rousse
-Mon garçon, j’en voie par centaine, des rousses des blondes des brunes c’est centrale park ici. Il faudrait que tu sois plus spécifique.
-Ah oui j’avoue. Dit-il. Elle porte un chemisier blanc et une robe.
-Attend que je réfléchisse, hum, oui ça me dis quelque chose, elle est partie dans cette direction. Dit l’homme en uniforme.
-Merci. réplique Jukka
Il trouva rapidement la jeune femme. Elle était adossée à un arbre et elle sanglotait.
-Désolé de vous importuné. Dit-il
-Encore toi, qu’est-ce que veux encore. Je ne suis pas d’humeur. L’avertit-elle
-Je tenais seulement à vous remettre votre sac, vous l’aviez oubliez a la librairie. Dit-il tout petit dans ses souliers. Je voulais également m’excuser pour ma conduite plus tôt. Je ne suis pas d’ici. Je ne sais pas parler aux femmes alors j’ai eue la stupidité de suivre les conseils peu aviser de mon frère mais je dois avoua que je ne suis vraiment pas comme ça d’ordinaire.
-Ah! Je….vraiment. Commença-t-elle en prenant le sac délicatement.
Silence
-Je tiens à m’excuser aussi, ce n’est pas mon habitude d’être si mesquine, j’ai vraiment eue une journée difficile.
-ça va, nous avons tous deux agit contre notre nature. Reprenons voulez-vous? Je me nomme Jukka et je suis de Finlande dit-il en lui tendant la main.
-Enchanté Jukka, je m’appel Joan Sullivan de New York.



Un nouveau Défi Commence... (A New Challenge Begins...)



p.s. I'm working of the english version of what is up there.
Bonjour a tous,

Je me nomme Jeannot S. alias Nhim de "La plume de Nhim" et ma partenaire de crime est nul autre que ma conjointe Julie S. alias Ju de "A Little Bit Of Everything And My Mug Of Tea". J'ai développé, il y'a un peu plus d'un an déjà, une passion pour l'écriture. Cette passion, assortie à mon amour pour la lecture a donnée naissance au blog ci-haut mentionné. Cet intérêt nouveau a motivé ma conjointe à s'en partir un elle-même. J'ai par la suite commencé à m'imposer des défis pour me garder stimuler et productif en matière d'écriture. Ces défis ont également à leur tour créé l'intérêt de ma douce. Elle m’a alors proposée un défi conjoint basé sur une habitude personnelle. Nous avons au cours des deux dernières années de notre relation pris l'habitude de se lire, de temps à autre, des histoires à voix haute avant l’heure du couché. Nous avons donc, dans cette perspective, décidé d’écrire chacun 26 personnages, 26 lieu d’histoire, 26 accessoires et 26 couleurs intégrés dans 26 histoires que nous nous lirions l’un à l’autre. Si vous multiplier le tout par 2 écrivain, vous obtiendriez donc 52 histoires. Ces histoires, principalement écrites pour nous-mêmes seront publiées ici dans une fréquence hebdomadaire, généralement le lundi.

J’espère que vous aimerez nos histoires et vous dis à la prochaine.

Nhim